Trafiquer l’estampe pour trouver du nouveau

Trafiquer l’estampe pour trouver du nouveau : Vue de l'atelier de Michael Woolwoth    Trafiquer l’estampe pour trouver du nouveau : Marc Desgrandchamps, Confrontation. Lithographie, 2014    Trafiquer l’estampe pour trouver du nouveau : Barthélémy Toguo, Le journal érotique d’un bûcheron linogravure, 2009   


The exhibition


Spécialisé dans les techniques d’impression sur des presses manuelles datant du XIXe siècle, Michael Woolworth et son atelier d’estampage basé à Paris a mené des collaborations avec une quarantaine d’artistes, usant de techniques classiques – lithographie, monotypes, linogravures et eau-forte – ou plus récentes pour les subvertir, au profit de gestes originaux. Après Sous pression en 2014 puis Toujours sous pression en 2016, Encore sous pression offre un panorama des réalisations « contre l’esprit du standard » de l’Atelier Woolworth. À La Louvière cohabitent les Pinocchio de l’Américain Jim Dine, les figures féminines évanescentes de Marc Desgrandchamps ou encore l’effeuillage du Journal érotique d’un bucheron de Barthélémy Toguo : soit des expressions qui ont trouvé leur pleine amplitude avec le savoir-faire de cet atelier.

Delphine Alexandre

When


04/02/2017 - 07/05/2017
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