Ninar Esber, le féminisme poétique

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Christine Buci-Glucksmann | Au début de ton travail, à ta sortie de l’école de Cergy en 2000, tu réalises tes premières performances, puis des vidéos et des vidéos performances qui mettent en question les divisions des genres artistiques. Ce qui me frappe, c’est le travail du geste, souvent quotidien et toujours transgressé par des dispositifs : suspens, répétition, quasi-immobilité ou tableau vivant. Comme tu le dis : “J’organise le présent, je l’étire.” Pourquoi cette lenteur, et en quoi te distingues-tu des performances des années 70-80 ?


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