Le parcours montre comment Gerald Petit privilégie, dans son travail entre photographie et peinture, des figures fissurées, fragmentées, suggérant une allégorie de la rupture amoureuse. Menant ainsi un discours focalisé sur le sens des échanges humains, son œuvre aborde de manière récurrente le thème de la rumeur, mis en exergue par un jeu de miroirs, voire par un dédoublement du sujet, à l'instar de la pièce « The Picnic » (1998-2012) ou du tableau « Le Bal » (2012), productions qui font preuve à la fois d’une démarche éloquente - renforcée par l’expression du mouvement -, et d’une ouverture à des nouvelles voies d’appréhension du réel.

Mónica Moreno Botero

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