Du Douanier Rousseau à Séraphine. Les grands maîtres naïfs

Du Douanier Rousseau à Séraphine. Les grands maîtres naïfs : Séraphine Louis, Pommes aux feuilles, 1929-1930, huile sur toile, 81 x 60 cm, Courtesy galerie Dina Vierny    Du Douanier Rousseau à Séraphine. Les grands maîtres naïfs : Séraphine Louis, Feuilles diaprées sur fond bleu, 1929, huile sur toile, 55 x 46 cm, collection particulière   


The exhibition


[...] Après Berthe Morisot, d’autres femmes au début du XXe siècle ont encore eu énormément de mal à faire reconnaître leur travail. Les bouquets de fleurs extasiés et multicolores sur des noirs profonds de Séraphine Louis font d’elle un maître « naïf », à égalité avec le Douanier Rousseau. Mais Séraphine ne doit sa reconnaissance qu’à l’œil acéré de Wilhelm Uhde, qui la révèle à la fin des années 1920 en tant que « primitif moderne ». Devenue Notre-Dame-des-Fleurs, la petite femme de chambre n’en sera pas moins emportée par la folie et finira sa vie à l’hôpital psychiatrique de Clermont-de-l’Oise.[...]


Extrait de l'article d'Emmanuel Daydé publié dans le N°90 de la revue Art Absolument. Parution le 12 octobre 2019

When


11/09/2019 - 19/01/2020
 Go back     |      Back on the top