Gérard Fromanger. La couleur pour changer le monde

Gérard Fromanger. La couleur pour changer le monde : Hommage à Topino-Lebrun, 1975 – 1977. La Vie et la mort du peuple. Huile sur toile. 200 x 300 cm. Centre Pompidou, Paris. © Gérard Fromanger, 2016 © Collection Centre Pompidou/Dist. RMN-GP photo Philippe Migeat.    Gérard Fromanger. La couleur pour changer le monde : Peinture-Monde, Blanc de titane. 2015. Série « Le coeur fait ce qu’il veut ». Acrylique sur toile. 200 x 300 cm. Collection Leïla Voight © Gérard Fromanger, 2016 © Collection Centre Pompidou/Dist. RMN-GP photo Bertrand Prévost    Gérard Fromanger. La couleur pour changer le monde : Album Le Rouge, 1968. 21 affiches sérigraphiées. Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, don de l’artiste en 2006 © Gérard Fromanger, 2016 © Collection Centre Pompidou/Dist. RMN-GP photo Georges Merguerditchian.    Gérard Fromanger. La couleur pour changer le monde : Corps à corps, bleu, Paris-Sienne. 2003-2006. Série « Sens dessus dessous ». Huile et peinture acrylique sur toile. 205 x 310 cm. Centre Pompidou, Musée national d’art moderne. © Gérard Fromanger, 2016 © Collection Centre Pompidou/Dist. RMN-GP photo Ph   


L'exposition


Après l'exposition Figuration narrative en 2008 au Grand Palais, le MNAM-Centre Pompidou présente une rétrospective inédite de son œuvre, un parcours thématique composé par le commissaire Michel Gauthier où éclate toute la vitalité de cinquante ans d’une création mue par un double ressort –« la passion picturale et le souci du monde ». Sa Peinture d’histoire en fait voir De toutes les couleurs.

Extrait de l'entretien de Pascal Lismonde publié dans le n°70 de la revue - Parution le 17 mars 2016.

Engagé, parfois provocateur, mais aussi voyageur : il passe par le Mexique, retourne à Buenos Aires et vit désormais à Paris. Son vagabondage est également plastique : il apprend les différentes techniques de l’estampe au Mexique, de la photolithographie à la gravure au carborundum. Pour Daniel Abadie, compagnon de route de l'Argentin et commissaire de cette exposition, « à la différence de la peinture, l’estampe possède un caractère intime, familier, qui lui est propre », dont l’artiste va s’approprier les codes par un trait aussi enfantin que maîtrisé.

Extrait de l'article de Charlène Rioux publié dans le n°70 de la revue. - Parution le 17 mars 2016.

N°70 - Mars/Avril 2016

Quand


17/02/2016 - 16/05/2016
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