Jean Puy / Ambroise Vollard – un fauve et son marchand.

Jean Puy / Ambroise Vollard – un fauve et son marchand. : Jean PUY, Étude de Nu, vers 1912, huile sur bois, 37 x 37 cm. Collection particulière © Nicolas Pianfetti © ADAGP, Paris 2021    Jean Puy / Ambroise Vollard – un fauve et son marchand. : Jean PUY, Autoportrait et tête de plâtre, 1908, huile sur toile, 60 x 73 cm. Collection particulière © Frédéric Rizzi pour Roannais Agglomération © ADAGP, Paris 2021    Jean Puy / Ambroise Vollard – un fauve et son marchand. : Jean PUY, Le Hamac, à Saint-Alban, vers 1904, huile sur toile, 73 x 93 cm. Collection particulière © Frédéric Rizzi pour Roannais Agglomération © ADAGP, Paris 2021   


L'exposition


Surface vibrante d’un Nu dans l’atelier de 1901, lisseur bleutée du Repos d’un modèle (1904) ou touche enlevée et suggestive de la Jeune Femme de profil (1904), sa manière trouve sa singularité dans des compositions complexes, dont la matière semble également plus dense, qu’exemplifient autant son Autoportrait et tête de plâtre de 1908 que Le Peintre et son modèle à Belle-Île (1905). Une diversité passée par les mains de Vollard : lorsqu’à la fin de l’année 1905, il achète à Jean Puy l’intégralité de son fond d’atelier, le Salon d’Automne de la même année vient de marquer les esprits par la réunion d’œuvres de Manguin, Camoin, Derain, Matisse, Marquet et Vlaminck, décrite comme « une orgie de tons purs ».

Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le N°98 de la revue Art Absolument.

Quand


26/06/2021 - 03/01/2022
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