Jérémy Laffon : Chorophénylalaninoplastomecanostressr-héologoductilviridiscacosmographigum (de la famille de l’arbalétrier poracé)

Jérémy Laffon : Chorophénylalaninoplastomecanostressr-héologoductilviridiscacosmographigum (de la famille de l’arbalétrier poracé) : Chlorophe?nylalaninoplastomecanostressrhe?ologoductilviridiscacosmographigum - Pie?ce monte?e 1, de?tail, 2011, technique mixte, environ 150 x 250 x 150 cm    Jérémy Laffon : Chorophénylalaninoplastomecanostressr-héologoductilviridiscacosmographigum (de la famille de l’arbalétrier poracé) : Siffler en travaillant, 2010, dessins a? la toupie, gouache sur papier, 75 x 100 cm    Jérémy Laffon : Chorophénylalaninoplastomecanostressr-héologoductilviridiscacosmographigum (de la famille de l’arbalétrier poracé) : BUNG, 2011, douilles de 22LR, plexiglas, 13, 8 x 35 cm   


L'exposition


Au premier abord, les œuvres de Jerémy Laffon semblent se référer au monde de l’enfance : sculptures architecturales réalisées avec des tablettes de chewing gum, dessins dont le tracé est effectué part une toupie ou encore la retranscription d’onomatopées. L’artiste lui-même dit considerer sa création comme un jeu perpétuel. Malgré cet infantilisme apparent dans la production, Jérémy Laffon distille un message d’adulte engagé. Ses «chewingtectures», constructions irréelles, portent en elles la marque d’une fétichisation par la société de consommation et les marché de l’art : le chewing-gum, objet consommable, se transforme, grâce à son nom d’artiste en œuvre d’art. L’architecture fanstamatique, réalisée avec des tablettes «Hollywood chewing-gum», est une référence à la ville du cinéma et à «l’American Dream», devenu hors de portée.

Pauline Mirete

Quand


05/05/2011 - 11/06/2011
 Retour     |      Haut de page