Paula Modersohn-Becker, l’intensité d’un regard

 Paula Modersohn-Becker, l’intensité d’un regard : Paula Modersohn-Becker - Jeune fille tenant des fleurs jaunes dans un verre 1902. Détrempe sur carton sur bois. 52 x 53 cm. Kunsthalle Bremen, Brême © Paula-Modersohn-Becker-Stiftung, Brême     Paula Modersohn-Becker, l’intensité d’un regard : Paula Modersohn-Becker - Portrait de Werner Sombart printemps 1906. Détrempe sur toile. 50 x 46 cm. Kunsthalle Bremen, Brême © Paula-Modersohn-Becker-Stiftung, Brême   


L'exposition


Comment un génie météorique comme Paula Modersohn-Becker, qui ouvre le XXe siècle entre Brême et Paris en en pressentant tous les « ismes » peut-elle demeurer aussi méconnue un siècle après sa mort ? Grâce à l’opiniâtreté de la romancière Marie Darrieussecq, qui lui consacre sa première biographie écrite en français, et à la notoriété de l’artiste Maria Lassnig, qui prolonge son œuvre jusqu’aux portes du XXIe siècle, celle qui a inventé l’autoportrait féminin nu peut enfin accrocher ses icônes hiératiques et barbares sur les murs du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Sainte Paula, un messie sauvage, avec une aptitude à la joie.

Extrait de l'article de Emmanuel Daydé publié dans le Numéro 71 de la revue Art Absolument

Quand


08/04/2016 - 21/08/2016
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